C’est sans doute une habitude de beaucoup de foyers, notamment ceux dont les revenus sont faibles, mais pas seulement, de faire régulièrement leurs comptes et de suivre scrupuleusement la balance entre recettes et dépenses.
Cette quatrième journée de mobilisation interprofessionnelle depuis le 5 décembre a encore démontré la puissante détermination du monde du travail à faire capituler le gouvernement.
Les personnels de la DGFiP rejettent les projets des pouvoirs publics, notamment celui visant à la destruction méthodique de notre administration.
A Paris, le 12 décembre 2019
Le mouvement porté par les organisations syndicales, contre la réforme à points, est un mouvement inédit depuis l’arrivée de ce gouvernement au pouvoir. La grande majorité du monde du travail est vent debout contre ce projet de réforme : cheminots, RATP, éducation nationale, culture, entreprises privées, raffineries, pompiers, hospitaliers,…
La journée du 5 décembre a été marquée par une forte mobilisation des salarié·es en grève avec 1,5 millions de manifestant·es dans la rue. A cette occasion, les agent·es à la DGFIP se sont particulièrement mobilisés. Le 11 décembre, le 1er ministre, n'a apporté aucune réponse aux revendications.